Il m’arrive souvent de repenser à ma grand-mère. Elle avait ce talent unique pour transformer des ingrédients simples en remèdes efficaces. Une poignée de thym pour la toux, de la camomille pour apaiser les nerfs… Aujourd’hui encore, je me demande comment elle savait tout ça. Ce n’était pas écrit dans un livre. C’était transmis, tout simplement. Et ce savoir, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) le considère désormais comme une ressource essentielle pour notre santé.
Ces médecines qu’on pensait oubliées
Vous savez, quand on parle de médecines traditionnelles, on imagine souvent des recettes de grand-mère, un peu désuètes. Pourtant, en 2023, l’OMS a organisé un sommet mondial pour rappeler leur importance. Trois grandes pratiques ont été mises en avant :
- La Médecine Traditionnelle Chinoise, avec ses herbes, son acupuncture et ses techniques énergétiques.
- La Médecine Ayurvédique, qui repose sur l’équilibre entre le corps et l’esprit.
- La Naturopathie, qui prône une hygiène de vie saine et l’utilisation de remèdes naturels.
Pour en savoir plus sur ces pratiques, consultez cette page de l’OMS.
Une contribution que l’on oublie trop souvent
Je ne savais pas, avant de m’y intéresser, que 40 % des médicaments modernes proviennent de plantes. Ça paraît fou, non ? L’aspirine, par exemple, dérive de l’écorce de saule. L’artémisinine, un traitement clé contre le paludisme, est issue de la médecine chinoise. Et certains traitements contre les cancers pédiatriques tirent leur origine de savoirs traditionnels.
Ce que ça montre, c’est que tradition et modernité ne s’opposent pas. Au contraire, elles se complètent. Découvrez comment ces savoirs sont valorisés grâce au Centre Mondial pour les Médecines Traditionnelles.
Mais ce n’est pas sans risques
Là où il faut être prudent, c’est qu’un remède mal utilisé peut faire plus de mal que de bien. J’ai vu des gens se tourner vers des tisanes ou des huiles essentielles en pensant que « naturel » veut dire « sans danger ». Ce n’est pas si simple. C’est pour ça que l’OMS insiste : ces médecines doivent être utilisées avec précaution, et toujours avec un minimum de connaissances ou l’avis d’un professionnel.
Pour approfondir ce sujet, lisez l’article officiel de l’OMS.
Ce que ça m’inspire
Je trouve fascinant que ces pratiques reviennent sur le devant de la scène. On a parfois l’impression qu’elles appartiennent au passé, mais elles sont plus actuelles que jamais. Peut-être qu’on a besoin de retrouver ce lien avec la nature. Peut-être qu’on cherche des solutions plus simples, plus proches de nous.
Quand je repense à ma grand-mère, je me dis qu’elle avait tout compris avant tout le monde. Ce n’était pas une question de mode ou de science. C’était du bon sens, transmis de génération en génération.
Qu’ai-je retenu ?
Résultats
#1. Quelle plante est à l’origine de l’aspirine ?
Réponse correcte
#2. Quelle médecine repose sur l’équilibre des doshas ?
Réponse correcte
#3. Combien de pourcentage des médicaments modernes proviennent de plantes ?
Réponse correcte
#4. Quel traitement contre le paludisme est issu de la médecine traditionnelle chinoise ?
Réponse correcte
#5. Pourquoi l’OMS insiste sur l’encadrement des médecines traditionnelles ?
Réponse correcte
Pourquoi ça nous concerne tous
L’OMS, en reconnaissant ces pratiques, nous envoie un message : il est possible de conjuguer tradition et modernité. Ce n’est pas une opposition. C’est un équilibre. Et c’est ça, je crois, qu’on devrait tous retenir.
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